L'accès au fleuve du Grand Montréal
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Billet du vendredi – L'équipe s'agrandit

16/5/2014

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Il commence à y avoir du monde dans le bureau pour l'été. Trois nouvelles personnes s'ajouteront à l'équipe d'Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie dans les prochaines semaine. Vous connaissiez déjà Cassandra qui travaille sur le projet d'aménagement d'une frayère près de la rivière Saint-Jacques. Elle a d'ailleurs publié ce billet sur le projet.

Nous avions déjà aussi accueilli Émilie, stagiaire de l'Institut de Tourisme et d'Hôtellerie du Québec (ITHQ), pour organiser l'arrivée du Tour de la Route Bleue 2014 au parc de la Promenade-Bellerive. Il s'agit en quelque sorte de son projet de fin d'étude et c'est la deuxième fois que nous accueillons une stagiaire de l'ITHQ. Je pense que nous y reviendrons tant qu'il y aura des étudiants à l'ITHQ qui seront intéressés par la Route Bleue du Grand Montréal.

Cette semaine, un nouveau stagiaire a commencé son projet de maîtrise et nous en accueillerons un autre la semaine prochaine... Et nous sommes en processus d'embauche d'un géomaticien.

Ainsi, Alexandre (Oui. Un autre. Ça fait trois dans le bureau avec notre colocataire) a commencé à travailler sur le camping urbain dans le cadre de sa maîtrise en développement du tourisme. Le projet a pour but d'évaluer la faisabilité d'avoir une offre en camping dans le grand Montréal, en sites riverains, naturellement. L'idée est de savoir si ça se peut, quels sont les freins à l'implantation de sites, quels devraient ou pourraient être les modes d'opérations, etc.

Ce projet va en intéresser plus d'un, car d'autres organismes s’intéressent aussi à la possibilité de voir du camping dans la région. Cyclo-tourisme quelqu'un? J'ai hâte de voir les résultats et de savoir si le camping à Montréal, ça se peut...

Aussi, Alexis (Ok. C'est même pas drôle, on arrête là), un autre étudiant à la maîtrise en développement du tourisme, commencera la semaine prochaine. Son projet a pour but de dresser un portrait des surfers et des kayakistes de rivière en milieu urbain. En somme, ça ressemble pas mal à une étude de marché du surf et du kayak de rivière pour pouvoir faire de Montréal la capitale mondiale du surf, tel que proposé dans ce billet...

Enfin, au début de juin, si tout va bien, nous pourrons embaucher un géomaticien qui nous permettra de développer des applications mobiles pour la RBGM, faire du ménage dans nos bases de données et améliorer l'application du www.acces-fleuve.org, entre autres projets intéressants et pratiques.

Ça bouge. On aime ça.

Alexandre
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Toutes les idées sont bonnes !

19/3/2014

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La mission d’Accès Fleuve / Comité ZIP Ville-Marie, soit de rendre le fleuve accessible aux citoyens, est une mission ambitieuse. Dans la réalité, comment cette mission se traduit-elle ? Dans ma tête d’idéaliste et de passionnée du fleuve, je me suis dis que, sur une île où les rives sont majoritairement privées, l’une des actions à entreprendre serait de récupérer des portions de rives progressivement. Conséquemment, je me rappelle avoir lancé, dans une conversation informelle, l’idée suivante :
« Il faudrait que la Ville de Montréal puisse racheter les propriétés riveraines en vente sur l’île pour qu’elles deviennent à nouveau publiques ».

J’ai un peu ri intérieurement en disant ça, tellement l’idée me paraissait logique, mais en même temps terriblement utopique ! Eh bien ! Ce n’était peut-être pas si utopique que ça, puisque d’autres semblent y avoir pensé avant moi !

En faisant des recherches pour un autre sujet, je suis tombée sur le plan d’urbanisme de la Ville de Montréal, adopté par le conseil municipal le 23 novembre 2004. J'ai eu un regain d'enthousiasme lorsque j’y ai lu l’objectif suivant :

Objectif 11 : Mettre en valeur le mont Royal, le caractère insulaire et les autres éléments identitaires du paysage urbain

Action 11.2 : affirmer le caractère insulaire de Montréal et mettre en valeur son parcours riverain

Moyens d’actions : Maximiser l’accessibilité physique et visuelle à l’eau en aménageant les rives publiques et en instaurant un programme d’acquisition de propriétés privées en rive en vue de leur conversion à des fins de parc ou de leur naturalisation.

OK ! Pas si farfelu que ça finalement ! Je me suis empressée d’appeler à la Ville de Montréal pour savoir s’il y avait eu des gains en ce sens depuis 2004. Malheureusement, je n’ai pas obtenu de retour d’appel et je ne frappe que des boîtes vocales… Je me suis rappelée cet échange et acquisition de terrains en 2006 en bordure de la rivière des Prairies par la Ville et l’arrondissement Pierrefonds-Roxboro. Ce gain avait permis d’annoncer en 2009 la création du parc-nature des Rapides-du-Cheval-Blanc. Est-ce que cette initiative faisait partie de ce programme d'acquisition ? Ce programme existe-t-il au moment actuel ? Si j'obtiens la réponse, je la partagerai avec vous 

Par la suite, la curiosité l’a emporté. J’ai jeté un coup d’œil à realtor.ca. Il y a actuellement 122 propriétés riveraines inscrites à la vente sur l’île de Montréal. Les prix de vente affichent des écarts considérables, soit entre 350 000 $ et 9 000 000 $… L’une de ces maisons est celle de John Abbott, premier Premier ministre canadien né au Canada et ancien maire de Montréal. Devant ce portrait, deux défis se posent.

Le premier défi est l’acquisition elle-même. Dans le cadre d’un budget futur, la Ville aurait besoin d’allouer des fonds à un programme d’acquisition qui ciblerait les propriétés les moins dispendieuses. Il est certain qu’avec le manque criant de revenus, ce fonds serait modeste, mais ce serait un début. Pour celles à un million et plus, là, on aura besoin d’aide. Le fonds pourrait être alimenté en partenariat avec de bons citoyens corporatifs, dont ceux qui utilisent l’eau du Saint-Laurent en abondance à Montréal. Ce serait une façon élégante de redonner à la communauté un peu de ce qu’ils ont consommé et de participer à la vitalité et la renommée de notre ville.

Il existe aussi des programmes d’aide à la protection des milieux naturels privés, entre autres, par l’acquisition (provincial et fédéral). Ces programmes pourraient être révisés de manière à rendre admissible une demande en lien avec l’accessibilité aux rives du fleuve. Une autre option serait de créer un programme de toutes pièces pour cette situation particulière, englobant Montréal, mais également les autres villes riveraines. Le « hic », c’est que lorsque l’on donne à droite, on coupe à gauche. Quand on touche aux revenus des citoyens, on fait un choix de société.

Le deuxième défi, c’est l’entretien de ces nouvelles acquisitions. Que fait-on avec les maisons ? Comment pallier la perte de revenus fonciers provenant de ces propriétés ? Si les maisons sont mal en point et exigent trop de deniers publics pour les rendre saines, le mieux sera de les démolir et de naturaliser le site. Si les bâtiments sont en bon état, pourquoi ne pas en confier la gestion à des organismes à but non lucratifs qui les mettront en valeur et les animeront (location de salles pour événements privés, locaux communautaires, entreposage d’embarcations publiques, etc.) ?

Nous pourrions en transformer quelques-uns en « Bed & Breakfast ». Actuellement, nous manquons cruellement de lieux d’hébergement en rive, ce qui limite le développement du récréotourisme nautique autour de l’île, que ce soit pour les usagers de la Route bleue du Grand Montréal ou pour les plaisanciers, qui doivent alors se prévoir un transport sur plusieurs kilomètres pour se rendre à un hôtel à l’intérieur des terres ou encore s’amarrer à la marina du Vieux-Port et trouver une chambre dans une auberge du Vieux-Montréal comme seule option.

Et vous ? Quelle vocation donneriez-vous à ces bâtiments ? 
Je vous laisse sur cette question d’un avenir hypothétique, mais immensément emballant. 

Un petit bonus pour vous faire rêver : deux photos d’une propriété à vendre à Pointe-Claire comprenant 200 pieds de façade avec une petite plage sur le lac Saint-Louis…
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(Source des deux photos : Duproprio.com)

Ariane
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Un fleuve pour les touristes

6/3/2014

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Le 26 février dernier, le ministre délégué au Tourisme, M. Pascal Bérubé, a lancé sa Stratégie de mise en valeur du Saint-Laurent touristique 2014-2020 qui vise à faire du fleuve Saint-Laurent une icône touristique de calibre international. Cette stratégie est accompagnée d’une enveloppe de 63,7 M$ issue de la politique économique Priorité emploi.

On ne peut que se réjouir d’une telle annonce visant à créer de la richesse chez nous ! Mais… il y a un mais. Ou plutôt deux…

Ma première préoccupation est qu’avec cette Stratégie, on cherche à vendre le fleuve aux étrangers avant de se le vendre à nous-mêmes. Pourtant, la vision énoncée de la Stratégie se décline comme suit : Faire du Saint-Laurent une icône touristique de calibre international, qui fera la fierté des Québécois, jouira d’une notoriété auprès des clientèles étrangères et bénéficiera d’un développement durable aux retombées économiques considérables.

Le Ministère en remet avec sa liste de principaux défis : D’autre part, outre la quête de clientèles étrangères, il importe de renforcer la fierté des Québécois et leur envie de se réapproprier le fleuve et le fjord, et d’en bénéficier.

ENFIN ! Je suis tout-à-fait en accord avec ça. Par contre, la Stratégie ne prévoit rien pour relever ce défi. Elle ne se soucie que de l’attractivité du fleuve pour les touristes internationaux. Vous me direz que c’est justement la mission du ministère du Tourisme et vous auriez raison ! Cependant, notre gouvernement aurait pu proposer un plan complémentaire pour favoriser le développement d’un sentiment d’appartenance envers NOTRE fleuve. Les meilleurs ambassadeurs des attraits du Québec à l’étranger, c’est nous !! Et pour que nos citoyens puissent remplir ce rôle, il faut qu’ils puissent reprendre contact avec leur fleuve !

Le Ministère devrait aussi se rendre compte que les réalisations s’adressant aux citoyens sont aussi un tremplin pour le tourisme international. Les accès et les infrastructures destinés à la population seront aussi disponibles pour les touristes.

Un autre exemple : la Stratégie prévoit qu’elle pourrait aider financièrement les festivals et événements touristiques. Quelle est la définition d’un festival ou événement touristique ? Réside-t-elle dans le nombre de participants ? Dans la provenance des participants ? Imaginez quel chic aurait le Festival de Jazz si seuls les touristes le fréquentaient… Les événements existent d’abord et avant tout pour les citoyens ! La renommée et la croissance de ces événements annuels deviennent, à force d’efforts, d’implication et de créativité, un attrait pour les touristes internationaux.

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Alors, cher ministère du Tourisme, la porte est grande ouverte pour venir investir dans le Tour de la Route bleue et dans la Route Bleue du Grand Montréal (ici aussi) qui croît et se renouvelle à chaque année ! Contrairement à ce que stipule la Stratégie, notre événement existe depuis quatre ans et, à l’heure actuelle, il est le seul qui célèbre le fleuve en milieu urbain et qui offre aux citoyens une occasion de contact direct avec l’eau à Montréal !

Ma deuxième préoccupation est la très grande timidité de la Stratégie envers l’écotourisme et le tourisme d’aventure, surtout celui en milieu urbain qui en est complètement absent. Je cible ici les adeptes de canot, de rabaska, de kite-surf, de surf, de kayak d’eau vive et de mer, de stand-up paddle board, de voile et de tout autre type d’embarcation qui n’est pas propulsée pas un moteur. Ce marché existe, mais il est peu documenté, faute d’investissement.

J’aurais apprécié que le Ministère inclus, au minimum, une étude de ce marché (local et international). Les mesures portant sur l’acquisition de connaissances, incluses dans la Stratégie, concernent uniquement les croisières fluviales et maritimes ainsi que le tourisme nautique (les plaisanciers).

Bref, les citoyens et les touristes qui allient vacances, plein-air et mode de vie actif ne sont pas considérés comme étant stratégiques. Je n’ai rien contre la venue de gros bateaux de croisière ou contre les plaisanciers, au contraire ! J’aimerais seulement voir un équilibre dans les investissements et une cohérence entre la vision et l’action.

Pour finir, je souhaite de tout cœur que la Stratégie remporte son pari d’époustoufler les touristes internationaux grâce au fleuve Saint-Laurent. Mais j’aimerais encore mieux que les Québécois retombent en amour avec leur fleuve… là je serais comblée !

Ariane

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